LE XVIIe APÔTRE – Une Scène des 864 Jours dans la Vie de Fidel

SUR LA ROUTE DU CINÉMA par Dan Albertini

  • LE XVIIe APÔTRE – Une Scène des 864 Jours dans la Vie de Fidel

Apothéose, le mot vaut tout son poids illustré dans le travail du XVIIe Apôtre, décrit ainsi par lui-même : journaliste, poète, romancier, essayiste et critique littéraire. Il a publié le livre sur Fidel, en (2) tomes, le titre vibre au moment où l’auteur a carrément tenu des commentaires remis sur l’esprit du ‘canal’ transfrontalier, lequel canal enfante déjà dans le Sud de la République. Un soir, vendredi, l’ambiance sélecte, la scène démarre au Café de Da, quartier d’Ahuntsic. Montréal. On pactise de l’envolée littéraire édifiée de J Élie Gilles, à la poésie amateur de la femme qui mangea trop. La prose musicale fait foi!

Le lecteur avisé, la méthodologie en la Métaspora de Dr Joël Des Rosiers est de rigueur.

Je me retrouve, la belle forme, les années subséquentes au séisme de 2010, bassin de la caraïbe, avec des critiques fictives de scénarios imaginaires. Il y a des femmes en vue, et en vrai, mais pas encore de bien-aimée, la belle-sœur me refusant sans raison jusqu’ici. La doc m’a dit que j’ai la forme de dix-huit ans avec le réel des seize, l’excès au temple m’est donc permis. Ainsi je partirai, aux besoins d’ailleurs. Le sujet choisi me réclame la ténacité de l’opéra, car je ne suis ni en symphonie ni en polyphonie corse. Je suis à La Havana Cuba sans y avoir trempé de pied-de-veau dans l’eau d’une île de la meringue.

Edgard Gousse propose en relecture didactique l’ouvrage sur Fidel, il dément : menteur, journaliste. Il règne en matrice ici, les autres aspects sont à moult mains exercées!

Si la méthodologie en la Métaspora de Dr Joël Des Rosiers y est en amont, c’est avec les armes d’Haollywood que je suis sur la route du cinéma, avec le XVIIe Apôtre qui décrit le XIVe né sous le patronyme d’Hippolyte pour devenir Castro tout en restant Fidel de son action révolutionnaire. Je précise et certifie, il faut être apôtre pour reconnaître l’autre.

Apôtre, non pas prophète pour préciser à l’avantage de l’initié perdu en conjectures, ce Fidel est décrit tel un visionnaire dans le prisme de la globalité. Edgard Gousse profite, maîtrise du langage de la pensée par une étonnante méthodologie rigoureuse qui lui évite les étreintes de camarades dans un monde de mœurs qui cachent souvent la faille. Il justifie tout, tel le documentariste, il livre les émotions, je réitère, pour démentir le journaliste menteur qui a menti pendant tout ce temps en se faisant payer pour dire faux par déclamation. Ce n’est pas un film, c’est une scène. Aux dieux d’en faire plus par la foi. Beaucoup d’annonces d’expression, la spiritualité évidemment, Edgard Gousse a étudié dit-il aussi, en rencontre, chez les pères du Saint-Esprit, je le case dans sa teneur même s’il est de guerre le guerrier de la violence de la pensée providentielle. J’accuse en même temps le fait de la caméra dans toute la démarche, car je suis sur la route du cinéma. Ainsi, l’oralité ne règne pas ici ni l’automatisme, sans y être exclu fatalement. Dans Métaspora, les petites patries intimes sont aisées d’expression tout en étant pilotées, côtoyées par la voisine étrangère, exogène. Dans le XIVe Apôtre, le XVIIe siège royalement par Christophe, souverainement par Dessalines, rémanent par Toussaint Louverture, à une période de locution en canal d’eau insulaire. Qui est donc cet Edgard Gousse ici? La caméra est bavarde, il y a un XVIIe Apôtre sur la table de douze.

Je vous présente l’Écriture liturgique apostolique du XVIIe Apôtre dans (7) jours francs.

  • Merci d’y croire!

cet article est publié par l’hebdomadaire Haïti-Observateur, VOL. LIII, No.40 Édition régulière New York du 15 novembre 2023, et se trouve en P… à  : h-o 15 nov 2023

Haïti-Observateur / ISSN: 1043-3783