DIPLOMATIE INTERNATIONALE & SOCIÉTÉ Par Dan Albertini
- Justin doit Réviser à la Hausse l’Action Militaire Canadienne en Syrie
Entre (). Abraham de son temps dans sa grande foi avérée du monde d’alors, ignora la notion physique de l’atome. L’atome pourtant exista bien avant ce temps, la chute de dents exista aussi, des lunes avant la compréhension de nos étonnants arracheurs de dents. Fermons ().
Si Israël s’est retenu, bravo, Trump, Macron est au moins plus claire ici : « Solidaire dans la tempête ». L’enfant malade du soviet a intérêt à ne pas se leurrer, nous sommes prêts pour la guerre, celui qui menace l’Amérique commet une erreur. Il menace toutes les Amériques en dépit du primo Maduro. La réponse du président Trump est sans équivoque ce, malgré les affaires tumultueuses de putes légales à candidat surpayées sans espoir à président. Qui ne le savait pas si ce ne sont ceux qui ne doivent jeter la première pierre. Il ne faut pas perdre de vue la réalité mais, aller plus loin, car la diction de vlad vise carrément Israël. Le fait de prétendre cibler l’origine d’un missile à venir est une allusion claire que la Russie endosse en menaçant Jérusalem. Économie de guerre, Guterres perd là carte et droit de parole. Le dé est pipé depuis la fausse diplomatie de Butler de Barack, cela ne tient plus en nouvelle Amérique responsable, prometteuse. Je préfère accorder pleine confiance à DT que je prévoyais depuis Trumping the world, quand la Chine retourne au politique empirique comme mode de gouvernance. Que Donald Trump prépare à sa manière un deuxième mandat potentiel en jouant à la politique de l’éclaboussement boueuse pervers pour éloigner l’adversaire ce n’est nouveau. En outre, l’enfant malade du soviet devient pathogène déjà, guerrier il croit possible une autre crise cubaine en 2018 après les aléas de la Géorgie, de l’Ukraine.
DC avait autrefois pris trop de temps à réagir face aux nazis. Acta non verba, it’s about time en langage américain pour dire de passer de la parole aux actes. « Vis pacem para bellum », le couard ne peut vivre en paix, il doit être traqué, c’est un mandat que propose la parabole des talents. L’Amérique doit défendre l’humanité contre celui qui a gazé tel autrefois, avec l’outil du présent, al Assad mérite le châtiment approprié sans Uturn. Délayer est regrettable je le répète : Téhéran associé à Poutine est ce luxe qui coûte déjà trop cher à Israël.
Moscou a passé le niveau de l’agression active de l’entreprise névralgique mise en joug chez nous les nations libres. Vlad n’épargne plus de peine. Nous savons avec certitude que l’erreur de Moscou est de croire ce qui était une diversion afin de découvrir le potentiel agresseur, à notre naïveté. Moscou a fait plus que de provoquer, son empreinte est claire, comme dans l’affaire des gaz en Syrie et du poison à Londres. Remontons de la Géorgie à l’Ossétie du Sud jusqu’à Kiev, en Ukraine, ont-ils commis des crimes en faveur de mercenaires, d’anciens du KGB devenu la nébuleuse. Nous croyons que Vlad est directement impliqué en amont, ce depuis Genève. L’Amérique de la convention de San Francisco doit frapper si fort que le doute sera à combattre chez nous à cause des scandales de Trump président mais nous devons aller au-delà dans ce que nous savons gérer, soit la garantie du lendemain. Les menaces de Poutine n’impressionnent pas, nous civils, sommes prêts à la guerre et à soutenir l’effort de guerre de l’Amérique si nécessaire. Justin se doit de réguiser l’appui américain international limité qui se dit de l’Élysée, « solidaire dans la tempête », en résolution acharnée anti nazi car le grief révolu est la tempête. Pearl Harbor ne trouvera plus Charly vivant si nous lâchons l’effort de guerre comme l’a fait Barack le balnéen. En le soulignant à travers les colonnes de l’hebdomadaire (H-O-2012), nous savions qu’un ancien militaire syrien atteint de cancer du fait de travailler dans la fabrication et dans la production d‘armes chimiques en Syrie, habitait dans les environs de Bridgeport au Connecticut. Toute la communauté d’origine le savait.
L’épitomé est clair, si vous voyez quelque chose dites quelque chose. Nous devons protéger notre terroir, c’est le seul espace qui garantisse la démocratie globale. Le nébuleux a repris du service. Oh, quelle arrogance que l’on croirait l’Amérique en facture dut chez le teinturier. Je comprends l’offre de Paris en dépit de nos différends qui sont d’ordres sémantiques. Londres l’a d’ailleurs démontré sans rechigner. Gravité, le PM Justin ne doit feindre polir de bilan politique, la Russie a aidé al Assad à gazer son peuple puis, à camoufler, c’est le crime punissable. Honte !
Le réalisme cynique de Moscou n’hésitera pas à passer par les truands de Kim pour tenter d’atteindre NYC s’il le fallait, ce qui implique une traversée canadienne dont la courbe dans le ciel ontarien. Ce n’est pas Pékin qui va s’en plaindre au point de dénouer le nœud si cela lui fait. Tian an men n’est que trop éloquent pour ne pas piger le mandat-2018 du président Xi.
Nous le savons que trop bien à la lueur des menaces de vlad, Ottawa fait preuve de négligence grave en ce ton bas de Raspoutine soviétique qui se renfonce en Afrique tandis que ce citoyen-ci est lopette sans valeur à Moscou. Le spécialiste canadien ne prend au sérieux les indices malgré tout et le système se résume à monitorer les messages comme si on attendait un niveau critique pour comprendre tandis que l’agent d’information de Moscou visite nos espaces vitaux depuis 2002. Il est même à l’étranger sous couvert canadien, question de crédibilité. Ils sont pour la plupart des traducteurs-interprètes polyglottes éprouvés de grandes compétences dont plusieurs originaires de l’Ukraine même, de la Moldavie… etc. Les apparences sont trompeuses, c’est ce que devrait comprendre PM Justin, je le dis depuis 2012.
La question suivante est impérative : si Washington frappe timidement et que la réponse syrienne déguisée tombe sur Israël, qu’allons-nous faire trop tard en réponse à l’Iran ?
La victoire sur le mal est néanmoins bien plus sérieuse après la découverte de l’atome que le pense la géographie de capons face à la guerre. L’amour des peuples engagés et de nations éprises de liberté a aussi ses raisons que la raison de l’insensé de Bachar ne comprendra pas.
Bons baisers de Paris !
cet article a été publié par l’hebdomadaire Haïti Observateur dans l’édition du 18 avril 2018 et se trouve à : http://haiti-observateur.ca/wp-content/uploads/2018/04/H-O-18-April-2018-2.pdf