DIPLOMATIE INTERNATIONALE & SOCIÉTÉ
- Conrad Black de Datif à Ablatif ou Génitif ? par Dan Albertini
Entre (), the serpent and the rainbow : loin d’être une promotion pour les sciences du vodou après visite & noces au point de se voir sanpwel1 aussi, on nous a à dessin volé une science, sur le sol. Aller la pratiquer en salle d’OP. Fermons-les ().
Vous aviez légitimement perdu votre latin faute de messes non dites, référez-vous alors au dico spécialisé. Ordre du rôle de cas en rappel. Nominatif (sujet), vocatif (l’interpellé), accusatif (complément), génitif (filiation), datif (attribution), ablatif (circonstanciel). C’est de là que l’on comprendra mieux la phrase française clé qui traduit l’élément du pardon de Donald J Trump président, accordé à lrd Conrad Black. Je ne la reproduis pas ici, car l’affaire est virale depuis les assises jusqu’au matin du 16 mai où tout le monde, éditeur-journalistes s’affairaient : Update. Nous, au 1er mai.
Voici l’affaire sans hémisphère du New York Sun : Justice for Conrad Black, Editorial – 15 mai 2019 : ‹‹When Conrad Black stood before a federal judge in Chicago to hear his final prison sentence, […]. He was given a chance to make a statement. “I never ask for mercy, » he told the judge, « but I do ask for avoidance of injustice. » […], that his request was denied››. Éditorial oui, mais est-ce que la main de Black y a trempé ? Ça sent ce que ça sent, disons une certaine fragrance que l’on retrouve en lui pour… .
Voici en avant-première chez H-O, un extrait du 1er mai dans pourquoi Conrad Black rejoint-il le courrier de Seth Lipsky pour soutenir Trump ? : Conrad Black est membre fondateur de NYS certes, avec une histoire et une signature, mais la valeur si elle s’acquiert par le nombre des années ou par le sceptre de, la tâche de Conrad Black par la nature de sa condamnation, est-elle réellement effacée pour offrir un tant soit peu de crédit à Donald J Trump, au point de ternir l’image des démocrates tels qu’il le fait, quand ceux-ci n’ont été pas condamnés dans le sujet de leur revendication ? Si je le sais avec prudence, je dois m’interroger sur la valeur de ce ‘birth again’.
Primo, le lord s’élève toujours à sa hauteur. Comment peut-on se retrouver en… si on est lord : incompréhension, effets d’un état d’âme ? Eh oui, c’est l’interrogation loin de la question que je formulerai élégamment ce jour, noblesse oblige. Ensuite, si on pardonne au coupable, seulement à un coupable reconnu, tandis qu’il accepte, est-ce une preuve d’aveu ? Le vrai lord, dignité oblige, se tiendra vertical face à son destin. Avoir péché contre l’Amérique en gestation n’est pas le grief contre le lord d’autrefois par la déclaration de Thomas Jefferson ? Cela a rendu le pays : Amérique indépendante républicaine. En effet, c’est une autre interrogation, j’y reviendrai plus tard. Parce que, si la javel blanchit ce n’est sûrement pas ce qui l’est déjà, propre si l’on s’attache à la lessive. S’il y a alors blanchissage, c’est qu’il y avait tâches. Mieux, si l’on devient éditorialiste pour sa propre cause, aux yeux même de l’éditeur officiel permissif, la javel a-t-elle besoin de se javelliser si elle en est déjà par nature ? Je suis toujours en interrogation avec option d’y revenir. Mais voyons l’effet viral du 16 mai.
- Financial Times 05/16/2019 : lord Black Donald Trump pardons former media mogul Conrad Black ‹‹Ex-owner of Daily Telegraph spent more than 3 years in FL prison››.
- Times 05/15/2019, Annie Karni : President Trump Grants pardon to Conrad Black
- ‹‹The pardon of Mr. Black, a political ally and longtime associate of Mr. Trump’s, …››,
- Trump Pardons Ex-Media Baron Conrad Black, a Former Business Partner
- White House hails ‘exceptional character’ […] who left prison in 2012. By Vivian Salama Updated 15, may 2019 10:40 p.m. Washington ‹‹President Trump pardoned… business partner convicted of fraud and obstruction of justice charges››.
- Donald Trump fully pardons former media mogul Corad Black
- Adrian Morrow U.S. Correspondant & Joe Castaldo Washington published may 15 2019 updated 19 minutes ago. ‹‹Donald Trump has granted a full pardon to former Canadian media Conrad Black, a long friend and one time business partner who has written a biography and numerous columns lauding the us. President››.
Il y en a qui de toute évidence ont eu maille à partir avec Black, mais je ne suis pas le seul au 15-16 mai pour rendre un constat du haut de l’observatoire. Dieu merci j’y avais déjà pensé bien avant puisque le 1er mai H-O me publiait avec un certain gêne, car cela semblait offenser les frères Joseph, en quelque sorte. Mais la raison et la logique de l’indépendance a eu raison malgré… ! Ray dirait : intrigant.
Le suis-je réellement, attention, qui disait déjà : ‹‹qui se ressemble s’assemble››, doit-on dès lors s’étonner s’offusquer ?
Non. C’est une prérogative présidentielle et je ne regrette pas d’avoir soutenu, là-dessus je reste et demeure vertical, si tel le roseau, plier sans se casser, d’avoir soutenu la candidature de Donnald J Trump contre celle d’Hillary Rhodam Clinton. Je demeure convaincu que l’Amérique aurait coulé à pic avec cette femme présidente, avec tel pouvoir. J’avais même invité ton Donald à venir nous expliquer sa formule de Trump Tower, en Haïti. J’ai fermé ce chapitre par sa crétinerie, lui promettant une fin de lune de miel et un chemin de Damas.
N’y est-il pas à ce stade, et je ne garantis pas la fin du pèlerinage.
En outre, Black ne niera pas et c’est triste pour un lord, de s’être plié en courbant l’échine pour saluer Donald Trump avec ses articles de soutien, pour un pardon, pour une faute commise. Contre l’Amérique. Je n’invente rien, la presse américaine s’est exprimée là-dessus. Mieux, le Canada attaché à cette couronne de lord-un tel ne peut en être fier de cette salle de lavage à la javel. À chacun son édito !
Doit-on ainsi se déchirer la chemise pour salir… salir voyons donc, lord Black, NYS, non. Je me soulage, car NYS est un ami des frères Joseph qui pratiquent avec moi la mode : non-rétention no censure, depuis juillet-août 2011. Date à laquelle j’ai attaché un renouveau haïtien pour que le séisme nous soit une leçon. Car il faut se retrouver en 1804, même aujourd’hui. Pour la République. Alors, bienvenue Black, d’ailleurs tu portes le nom de notre épiderme. Le lord, l’empire hérité de Dessalines nous donne droit à ce titre, à cette transmission. Nous pouvons la partager par la vertu des préceptes de Jean-Jacques le grand, qui nous permet une extension sans avoir touché le sol, mais par la vertu des relations avec les frères Joseph. Mais, fais-en bon usage désormais. La véritable mesure sur les qualités du ‘rebirth’ serait par-devant le congrès dans le sens d’une nomination quelconque. Président Trump n’osera pas l‘esclandre.
cet article est publié par l’hebdomadaire Haïti-Observateur No. 21, édition du 22 mai 2019 et se trouve en P. 13 à : http://haiti-observateur.ca/wp-content/uploads/2019/05/H-O-22-mai-2019.pdf