DIPLOMATIE INTERNATIONALE & SOCIÉTÉ par Dan Albertini
- Haïti d’Après Apocalypse
Entre (), pourquoi manno Macron ne se repose-t-il pas en famille, en vacances, comme le fait tout autre président, est-ce la faute de la vieille colérique, grand écart inversé à la rencontre d’amitié franco-allemande ? Ah, si on ne déguste, plus pensons au cas Gayet-Trierweiler chez Hollande-en-scooter la nuit, participe présent de l’abandon déguisé de Royal. Fermons les ().
Comprenez, je puise ici dans ma chronique sur la route du cinéma, car le jeu et la chandelle semblent brûler des deux bouts. Duvalier maitrisait l’après-Duvalier, il en est mort. Aristide idem, il est encore vivant. Préval, même spectre, il est mort. Martelly mieux que Privert, les deux sont encore vivants. Qu’en est-il réellement entre les oies sauvages, les trois survivants, quand l’observateur de ses émotions crie : « scénario 2004 ». Même si l’on a peur de Nicolas.
L’étranger est dans nos portes et doit faire avec une diplomatie intérieure des plus orageuses.
Un homme crie, il a un livre en mains ; son passé est dedans croit-il. Il ne veut pas partir par apocalypse. En République. Il doit partir en effet, c’est le rêve que je gère comme en espace de littérature interdite ou pour le schéma haïtien. Haïti est une vie de débauche où un temps d’épilogue est prescrit. Un temps, car il y en aura d’autres. Suis-je toujours haïtien si une inc. multinationale a récupéré le nom Haitian, en anglais dit le français. Elle fait dans le molding du plastique, des générations de vénus, de mars, de jupiter, ce sont des machines pas des loas. Je parlais du risque de perte du générique à mon ami Léonard. Il est un gangan qui fait dans la pratique de l’Ibo thérapie, il veut tellement que l’on s’en sorte, qu’il accepte l’Ibo en thérapie de paix. Un miroir en réflexion sur le passé ancestral puisé à la source même. Il est 12H71.
L’homme qui tenait le livre entre les mains, cet homme est le colonel Rebu. Il se croit utile à la patrie, sa patrie. Mais, Duvalier est mort et enterré, les sbires sont au sépulcre, le président apocalyptique est Jovenel Moïse qui se croit christophien. Je nous crois dans un retour vers le point zéro où on traverse les mêmes zones de turbulence à contresens. Il fallait s’y attendre on rencontre Avril contre Rebu cette fois-ci, car l’échec du coup d’état est vu avant la tentative tandis qu’on croit à une pourriture contemporaine. En effet, tout le monde crie au coup d’état puisque le scénario est en mode rappel sur le passé non pas en mode reset. On est en fast back (accéléré), heureusement. Le peuple s’affole personne ne comprend le sens et tous crient peur à la destruction. Peur sur la ville, l’Armée est revenue, elle souffre de la même cécité, écarte le citoyen haïtien réputé diaspora par ses études dans sa définition du postulant.
Le spectre de la Diaspora est de retour, car les débuts opéraient par l’avantage de posséder ce que l’on appelle un green card, que dire d’une citizen card qui fait de nous un agent désigné de la CIA. Le Canada est ‘OFF’ en intelligence globale. La France en manno Macron feint l’innocence, mais attise le feu. Profite des zones d’ombre, mais ignore notre pacte invisible.
Aujourd’hui c’est le transfert et les frais pour le fonds de l’éducation qui font la loi. Autrefois un mariage blanc promis suspendu contre les capacités de l’État. Une fois de plus objection au nom du peuple, on ne doit écarter diapo, le recrutement de l’Armée le fait malgré tout. Je publie alors comme à l’habitude cette chronique hebdomadaire qui reste après l’épilogue, tel le parchemin fourré dans une bouteille fermée qui flotte en remontant le courant de l’Afrique.
L’historien ne digère non plus, il doit attendre la fin du spasme pour redevenir pro. Republica, on est aux abois avec un procès sans timbre, non consolidé. Louko Désir dans son inculture politique puisqu’il dévore les ondes, crie à l’occupation. Bob C démontre ne pas avoir agi en pézé kafé quand Mélissa crie « manman sé wou ki metem nan sa », elle déclare le contraire, il faut traduire interpréter, quand on est imaginaire on imagine. On cède la part de souveraineté par dépit. S’il faut un responsable, il faudra un coupable aussi. Apocalypse, Me Fièvre le sait !
Lettre posthume de Jean Jackson Michel (simulation)
Me Evinc Ducasse juge de paix titulaire, Tribunal de Saintard Arcahaie-Haïti. Objet : Plainte.
« Honorable Magistrat »,
« Je vous présente mes compliments pour le travail combien apprécié que vous faites au nom de la loi pour garantir aux justiciables le respect de leurs droits conformément aux idéaux de la constitution de 1987 amendée ».
« Par la présente, je me vois obligé d’attirer votre attention, 17 mois après un long périple de violations répétées de mes droits par le gouvernement dont vous servez et nous sommes tous concitoyens, je suis devenu aujourd’hui la cible à abattre pour empêcher que des pratiques arbitraires subies ne soient dénoncées. Des menaces pullulent depuis, contre ma personne et aussi contre ma famille à travers des appels téléphoniques, et le pire mon chien pour lequel j’ai un profond attachement (penia) a été froidement abattu dans mon domicile familial par des individus sans cagoule circulant à moto et qui profitaient arme au poing pour piller un chauffeur qui vendait de la glace dans toute la communauté en plein jour. Des rumeurs persistantes sur mon assassinat imminent par les membres du gang armé de la mairesse de la ville trainent sur les réseaux sociaux.
Hier, au téléphone l’un des maires assesseurs m’avait appelé pour s’informer de l’endroit où je pourrais me retrouver vers 4 heures pm sous prétexte qu’il comptait me rendre visite alors que sa voix circulait dans une bande sonore en pleine négociation avec les bandits dit-on très recherchés par la police.
À ce stade, je suis devenu nomade, sautant de maison en maison dans l’unique but de sauver ma peau et éviter que leur plan ne soit exécuté. Magistrat, les assassins sont dans la ville, très présent et très puissant par leur connexion ; les menaces sont réelles si l’on doit se référer aux pratiques d’exécution sommaire en mode normal dans la cité, et plus récemment à l’assassinat comme de rien n’était de Evens Alexis fraichement libéré par le juge d’instruction Berge O. Surpris qui instruisait le prétendu dossier d’attaque contre le cortège du président. Je vous le redis Magistrat, ma vie est en danger, seule la justice dans ses attributions a le devoir de voler à mon secours, c’est pourquoi, je vous en interpelle.
En attendant que des mesures urgentes soient prises pour garantir ma sécurité, je serai ravi de vous rencontrer sans délai pour vous fournir des informations beaucoup plus pertinentes pouvant vous aider à une bien meilleure appréciation de la situation.
Recevez honorable magistrat mes respectueuses salutations.
Jean Jackson Michel, route de Saintard, Arcahaie
Note reçue au Greffe du Tribunal de Paix de Saintard le 10/10/ 2018 par le Greffier Donald Olivier
Cette lettre est simulée posthume par le fait de l’épilogue apocalyptique pressentie où le matin 18 est d’un autre pays d’une autre nation, dans cette considération troublante. On ressent sa hâte. Le Commissaire Daméus sera accusé d’avoir reçu en rançon à (2) reprises, de l’argent, par l’attenant politique du parti régional des Gonaïves. L’argent venait de New York d’après le registre…. Pour le citoyen Jackson, l’apocalypse a lieu bien avant l’épilogue puisque son fonds de commerce Enjoy Plaza a disparu de l’Arcahaie peu après son incarcération politique forgée en mensonge par le chef de l’État que l’on croyait saint d’esprit. La police n’a volontairement rien fait pour protéger ses biens, au contraire. Il est devenu le zombi politique malgré le nouveau Code pénal sur le sujet, une larve économique malgré la constitution dans son article sur le bonheur. Juge Ducasse ne lui avait d’ailleurs jamais répondu. Drame : Zombi circule sans être vu ici et là.
J’ai signé en littérature interdite, sur la route du cinéma – oct. 2016, le Manifeste où j’explique que dans ce pays on porte le nom de sa job. Le Jackson de l’apocalypse est désormais Zombi, il se retrouve retenu candidat dans les Amours d’un zombi, film du cinéaste Arnold Antonin. Je dois interpeller tout le monde même Antonin, c’est l’apocalypse sous l’ère Jovenel Moïse.
Un nommé M Andrésol qui s’est cru « denzel », arrive en christ salvateur exonéré du sacrifice rédempteur, mais, histoire de mœurs cachés, réclame le droit de l’infante sans nommer, citer le péché par le nom du pécheur, de l’hommerie. L’homme coupable tandis qu’il dit savoir. On sentirait une proposition pernicieuse à savoir : sanctionner et gracier par la suite pour faire taire le dossier. Le paradis aurait-il ici-bas un lâche infiltré ou un toutiste ?
Je suis persuadé que la réponse est programmée dans la série des grands procès de l’histoire ou Haïti nouvelle. J’aurais entre temps plus d’une autre chronique sur la diplomatie, au revoir.
cet article est publié par l’hebdomadaire Haïti-Observateur édition du 7 novembre 2018 et se trouve en P.12 à : http://haiti-observateur.ca/wp-content/uploads/2018/11/H-O-07-nov-2018-1.pdf