DIPLOMATIE INTERNATIONALE & SOCIÉTÉ par Dan Albertini
- Le Capitalisme l’Insubmersible qui Prend de l’E[aux] US
- Entre () Si Poutine veut Haïti dans sa cour, qu’il vienne le chercher s’il a le cran. Fermons ().
«Neoliberalism is destroying our democracy». Chomsky doit certes pleurer la façon du revers de la néo-libéralisation annoncée de Trump sur l’école de Hoover Institution (Friedman/la revue no. 100 ÉTÉ 2003) ou du triangle de A C Harberger de l’Université de Chicago, car il n’en voulait pas si l’on observe l’angle des ses critiques sur le sujet. La réforme structurelle si elle a graissé le portefeuille du CEO, d’une certaine classe d’actionnaires, elle n’a pas livré ni drainé sans fiction, le salaire d’efficience promis de Libenstein repris de Stiglitz. C’est l’aaa-économique (Avon, Amway, ACN…), a contrario grand système pyramidal de préférence qui soutenait un star-système perfusé dans les assemblées de cuisine. Ce sera donc autre chose qui a provoqué la défaite du néolibéralisme US., Madoff star system par exemple. La plaie béante, le géant saigne au point de miser toute sa force sur son capital inactif : la force de l’or. Telle synergie tombe pour se renforcer malheureusement ailleurs, en mieux en accéléré. La formule Capone qui casse le bras à tout président du monde déclaré tiers à travers le globe s’effondre à vue d’œil. Le Potomac s’est fait prisonnier de lui-même, les clés sur un comptoir. Edward Snowdon est ailleurs pour le raconter. Et, l’on perçoit une réémergence de ce qui jadis a été rejeté : la ségrégation ignorante post. Comme un rétro, y aura-t-il guerre civile par Bannon ?
Imaginons l’aboutissement des crimes reprochés au défunt J Epstein dont l’esclavage sexuel, qui l’auraient poussé au suicide, en prison, que serait-ce dans dix ans à NYC ? Hélas oui, nous le savons tous, la faim la pauvreté sont des facteurs clés qui poussent tant à la prostitution. Un pas de plus c’est la soumission, la manipulation. La dévalorisation. Le piège du success-story associé à la peur de la pauvreté fait tomber les barrières de la vigilance. Est-ce de là Epstein ?
D’où l’esclavage, crime prémédité, de l’absence de personnalité juridique de la république de Platon est une tentation hétérogène dans la république de Trump. On s’y fait des adeptes. La traque contre Ocasio Cortez est une preuve flagrante sans détour : dénigrer, dévaluer, déloger, pour abêtir, ensuite déshumaniser et posséder. Dire et redire dans l’histoire, selon Socrate, et voilà le nœud. Chomsky perdrait encore plus ici que le regard de l’économiste norvégien Erik S Reinert, dans comment les pays riches deviennent plus riche et les pays pauvres deviennent plus pauvre.
En fait, l’intelligence américaine de Richard Nixon ne pouvait être ce capitalisme légal, d’une part, quand il a espionné le compétiteur politique au point de démissionner afin d’éviter la destitution pour crime constitutionnel. Ce n’est pas là l’essence de l’économie de la monnaie : «in God we trust». Sinon pourquoi le mettre, Dieu n’est pas Diable, Diable n’est pas Dieu. Et, par extrapolation par association, quand Gérald Ford réhabilita Nixon malgré tout, sans en réhabiliter par rédemption nationale le reste de la population carcérale [dont on connaît le zest du péché par ségrégation, ce qui ressurgit avec Trump]. D’autre part, parce que l’évangéliste américain, membre de la CIA se justifiait en crime en démonisant l’autre, par ses agences. Il y a là un codex digne du monde Capone que l’on retrouve dans le comportement préprogrammé de l’administration de Donald John Trump qui agit en obstruction à la justice. Un rayon sur la table par rapport à un crayon dans le nez ou, celui dont la gomme est martelée sur le meuble. La cigarette dans la bouche qui invite à une série d’actes de reconnaissance, d’exécution.
L’IQ Nixon est de préférence de la poudre aux yeux, en réalité une autre forme de colonialiste sans fusil, mais avec ce qui s’est passé au Japon. Les E.U. d’Amérique ont imposé au tiers-monde le principe du libéralisme économique de par leur position de force connue depuis Hiroshima Nagasaki. Seul objectif : confisquer les biens du monde par une mafia paresseuse qui impose sa philosophie de crétin semblable à l’objet d’un Code noir originel qui a commis l’erreur de constater par ce vide juridique de la personnalité de l’esclave, pour croire au néant de développement humain, de la clientèle affamée sous les chaines. Est-ce ça les É.U. 2019 ?
En faire son intelligence propre par consécution de celui qui pourtant fait vivre le système plus que le QI qui jusqu’au jour où il constate que son fils ne pouvait gérer l’habitation, mais que l’esclave sans personnalité juridique politique avait appris malgré le statut : bien possédé, sans âme. La chute de ces familles qui ont cru se cacher dans l’histoire en gardant ces privilèges sous le titre de patriote américain né, contre la nouvelle formule de la bêtise qui forgeait leur cerveau avec la peur et le déni, sans comprendre que les neurosciences allaient le leur faire découvrir autrement que dans les plans initiaux érigés sur la peur tout court, est là.
Illustrons simulons la proposition russe : convention, faute abusive répétitive É.U.
Déplacer le siège de l’AGUN à Genève suggéré par des diplomates russes. Imaginons que le président Donald J Trump dise oui avant sa destitution, pour se venger, comme dans Vol au-dessus d’un nid de coucou [Nicholson en cage]. En fait, pourquoi pas à Paris comme symbole de mémoire antinazi puisqu’un certain président D semble en faire l’apologie de l’arien+ ? Les É.U. perdraient tout le lustre du dépositaire connu depuis la fameuse session de San Francisco qui y a vu le monde déposer ses pouvoirs en garantie. Ses langues aussi. Ce serait d’abord la grande victoire de la langue française, car la Suisse de la Genève internationale non seulement n’a pas travaillé pour cela. En matière de droits de l’homme, depuis le trait de Doudou Diène, et elle, représente un risque de fonds cachés (nazis/dictateurs). Si l’ONU représente chez elle une plateforme de transparence globale, elle ne s’y est pas soumise à cette expertise depuis F Cotti. Combien de Nations se plaignent de ce genre de vol par invasion américaine !
D’un autre point de vue, l’arrogance de l’anglais imposé est une farce aussi contre tous. Et, l’Académie française ne dirait pas non pour une cinquantaine, rajoutons au délire, après cinq Républiques, une ONU II hors continent. Marée haute touristique sur la Seine marée basse sur la Hudson : tonton doit reconstruire comme tout le monde en Chine. Mais il faudrait que Paris sache créer l’emploi, ouvrir sa porte à l’immigration sanctuaire. La vague sait séduire mieux que Black, l’ex-baron finit par se dévoiler ou dévoiler sa face. Traitre, instable, ignorant qui lâche Trump dans un «Trump can win by changing his tone», le 13 septembre 2019, en faisant croire à la potentialité de réélection à condition de. C Black mentait donc avant en sachant la vérité. Il trahissait. Il ignora donc, avant d’ouvrir l’œil. C’est l’ignorance d’un prétentieux. Il change de ton comme de suggestion. Instabilité chronique de l’affairiste qui se cherche le vent du voilier. Ce n’est pas du journalisme au soleil de New York qui risque de s’éteindre pour voir l’ex-baron vouloir devenir républicain après la monarchie et la prison. Capitaliste inutile.
Les indices sont inquiétants quand la Kim impressionne les É.U. afin de compacter un deal de diplomatie nucléaire avant qu’il ne soit trop tard. Trop tard dans le sens que la destitution du président Trump ramènerait la carte à zéro. C’est là l’histoire de l’insubmersible qui prend de l’E[aux] US avec Donald J Trump qui ne sait prouver sa naissance américaine originelle en se croyant encore Allemand. D’où la négation devenue paranormale chez lui, car il faut démontrer maintenant le mensonge de l’appartenance sinon par vocation criminelle de l’envahisseur qui déforme l’histoire pour se faire croire, ou se croire endogène. Le mythe de l’antithèse de la supériorité, mais en réalité du contraire puisque l’esclave a la capacité non seulement de mener une double vie intérieure allant jusqu’à l’adoration du sujet maître, mais de s’élever encore plus malgré les contentions. Deux standards en garantie, mais une chaise !
Dans l’affaire des Noirs envoyés à la chaise électrique par vice de procédure connu au procès, les É.U. se sont forgé une solide réputation de «con» et de «con man» qui lui retourne en collision frontale depuis la fameuse date qui a remplacé la légende urbaine du «vendredi 13». Pelosi doit décider en accéléré, comme le système qui a forgé Donald J Trump qui implore un Kim de le sauver désespérément de la chaise aussi a failli, de réparer ou de couler. On pourrait dire que jamais une femme aux É.U. n’aurait pensé être utile à son pays, à ce point, dans une culture miso avancée qui a prévu barrer la route à la femme en se prétendant démocratique. Comme à l’époque du Code noir, déposséder la femme de, dans un Nouveau Monde.
C’est en effet un patriotisme paradoxal si on examine bien sûr dans la virtualité du cinéma qui interprète avec Tom Hanks, The bridge of spy. Il est me Donovan, avocat du fameux colonel Abel. Donovan défend «stoykiy muzhik» accusé d’espionnage avec un mandat qu’il conteste d’ailleurs : l’envoyer à la chaise électrique aux bons soins de Sam qui lui offre le grand procès historique, non le bon procès. Le capitalisme patriotique paradoxal se rafraîchit dans l’image qui est devenue ce que je définis par économie Avon depuis Obama. Cette économie Avon se croit génie expert juste comme à l’école, le savoir qui se transmet et retransmet l’éducation du profit et au profit de ton «Sam». Mais Sam se dégraisse !
Les signes indicateurs se multiplient sans éreintement par exemple avec : Joseph Stiglitz dans «un ralentissement économique se prépare» publié dans Paris Match, où l’on a l’impression que l’Amérique ne retient plus sa crème scientifique ni l’envoie comme mercenaire ailleurs. L’attraction se fait inverser au Pôle en faveur de l’IA, à moins de menaces au bouton rouge pour faire plier par le GI. Ce qui n’est plus possible d’ailleurs, à moins d’une «Planète des singes» du Dr Cornélius et Zira, où à la fin un capitaine Taylor pleurera : oh non ils n’ont pas fait ça ! Où tout le monde perdrait sans mesure. On peut le mesurer autrement avec «Richard Powers au chevet de l’Amérique», cité dans le Temps de Genève ; avec «House Democrates Subpoena Mike Pompeo for Ukraine documents» publié par Reuters, le 27/09/2019, un pacte qui démontre hors de tout doute les vices longtemps cachés aujourd’hui avérés d’un système de racket qui se servait de camouflage démocratique dans une logique abusive : chacun son tour. Mais qui a changé par une tentative monarchique de faux barons où le roi est Roi. Les exemples se font légion et le vent de panique n’est plus à craindre, mais à préparer dans la sérénité, car l’exemple de la chute des deux derniers empires européens depuis 1945 devrait servir d’exemple. Je l’ai symbolisé aussi dans Nouvelle frayeur sur Manhattan (10/30 avec Donald J Trump, où je vois venir Beto Torpedo à la rescousse dans un monde où 24H chrono a tout dit sur Charles Logan le traître, et Alisson Taylor la rectificatrice [je crois la nécessité Epstein de surveiller de près le président, car il ne peut que se voir à travers cette lucarne et partir ainsi en sécurisant les finances pour ses enfants : la culpabilité n’est pas héréditaire.
L’Amérique a une seule chance, se faire pardonner c’est s’offrir elle-même sa propre chaise… par le symbole de celui qui comme tout le monde le sait et tout le monde le voit, veut se présenter en système esclavagiste. Renaître de nouveau, prendre le temps et s’offrir ce temps. Brûler cette chaise par la suite, humaniser le centre de détention issu du procès juste. Sinon, nul n’y croira plus jamais en elle. C’est là le défi de Pelosi au Congrès, redonner naissance.
Ce n’est pas là un souhait mais c’est d’abord le fruit d’une observation. Puis un constat à l’amiable. Enfin une simulation réelle car l’insubmersible prend de l’eau à tribord et à bâbord.
cet article est publié par l’hebdomadaire Haïti-Observateur, édition du 2 octobre 2019 Vol. XXXXIX no.39, et se trouve en P.12 à : http://haiti-observateur.ca/wp-content/uploads/2019/10/H-O-2-oct-2019.pdf