Les Faces Cachées de la Lune n’est pas de Dieu, MAIS DE L’INDUSTRIE SPATIALE

DIPLOMATIE INTERNATIONALE & SOCIÉTÉ par Dan Albertini

  • Les Faces Cachées de la Lune n’est pas de Dieu, MAIS DE L’INDUSTRIE SPATIALE
  • Entre (), l’esprit de dictature en Haïti est-il possible à l’aube de l’an 2000, oups, je dis 2M, car il m’a semblé que l’ère politique s’y identifia à ce titre-là [ignorant que nous avions traversé une frontière lointaine de l’infini]. Et, de l’inconnu. Donnant accès aux poudrières de réseaux sociaux de téléportation. Non pas de la matière, mais de révolutions animées et unanimes. E Ionesco eut dit : «le roi se meurt … est laid», «tu vas mourir… guignol tragique». Fermons (). 

On a tant accusé les populations pauvres de pays pauvres, de pollueurs-plastique de mers de l’environnement. On leur a pourtant vendu à dessein, ce qui allait se répandre dans les eaux de forêts marines, sans vergogne. ON nous taxe tous, pour la protection de l’environnement comme si l’on était le coupable (en fait, cette taxation dont sa puissante police fiscale qui est le bras armé, non pas de la justice, mais de l’économie, nous ruine). On est ruiné, non pas mort puisqu’il faut rester vivant pour nourrir le système. La mort du corps, c’est l’affaire des armées. L’armée canadienne dans une note récente publiée par La Presse Canadienne, fait appel à la recherche de propositions pour nettoyer l’espace : budget. Non pas le sol crasseux du gueux où notre caméra nous montre des nuages de tonnes de déchets plastiques laissés. Mais, l’espace transaérien où les grands débiteurs démontrent une fois de trop la culture de la négligence criminelle. Il y a alors par élection démocratique, nomination de fonctionnaires et administrateurs de budget : carrière. Les débris spatiaux nous menacent par leur faute, va-t-on nous refiler la facture une fois de trop pour danger imminent de crasses et menaces sur la vie d’astronaute, sur les satellites-spacex ? Notre vie décente, est-ce le portefeuille ouvert, et libre d’accès tandis qu’on parle de «printemps arabes» pour se cacher la braise ?

Pourquoi l’euphémisme ici ?

Le titre est ici un euphémisme ne faisant allusion à tout ce qui de cet univers immense ne me sera jamais dévoilé, fière coupable l’industrie spatiale. Ami d’église, lors d’une leçon assistée de questionnaire du manuel de moniteur il y a de cela deux ans, I expliqua que l’humain n’ira jamais habiter Mars (terre de feu), parce que Dieu créa l’homme pour vivre sur terre et non ailleurs. Ainsi, parlant de la doctrine, il y va d’autorité d’après lui sans se dire qu’il parla de la foi qui l’habite, la peur du vide donc, soumission. Soumission non pas par la foi insufflée, mais par cette même peur qui génère ses images. La religion autrefois nous obligeait plus loin que de l’insertion, par l’imposition, des images comme celles de notion de l’enfer de feu qui brûle la chair du pécheur impénitent, avec la préséance de l’hérésie sur le bûcher. Telle est la peur aussi. Dire que la religion se traite aujourd’hui pas les neurosciences qui dévoilent d’où nous viennent et de quelle mémoire se produisent les effets épisodiques, sémantiques phatiques…, etc. Ce n’est donc Dieu qui nous cache la lune, mais l’égo-causalité de déchets.

Il y a un projet vieux de plus que la décennie à Hong Kong que j’ai appris d’après les éléments et les coordonnées accordées disponibles de l’époque. Il voulait faire de Hong Kong, plus que celui d’études, mais le projet pilote d’une vie en altitude. Une cinquantaine d’étages au moins seraient amputés au-dessus de nous ou en dessous de la ville altière qui regarderait le soleil de plus près. Cela nous créerait dans les faits, des éclipses solaires partielles pour ce qui du niveau du sol-I, représenterait ouvertement, la racaille. Ouvertement, c’est le deal proposé même en Russie, mais, pour conserver des Cartier patrimoniaux. Amsterdam est sur bas pilotis sur l’eau et le Mékong sur pilotis de bambou sur le fleuve. Ganvié serait sur bois. L’OACI étudie de son côté les couloirs aériens d’aéronef/voitures spatiales privées sans boue ni reflux, avec garage modulaire aérien. Matériaux composites. J’imagine la pluie de déchets.


Cet article est publié par l’hebdomadaire Haïti-Observateur, édition du 22 janvier 2020 VOL. L, No. 3 New York, et se trouve en P. 12 à : http://haiti-observateur.ca/wp-content/uploads/2020/01/H-O-22-Januari-2020-1.pdf