LITTÉRATURE INTERDITE par Daniel Milord Albertini
- MARIA MAGDALENA DE L’AVEU OU
- ‘Ne dites pas à ma mère que je suis une salope’
De sa poésie l’auteur relit sa pensée, fixe son action d’Apôtre avec titre et recette au recueil Les oiseaux se taisent et me regardent : «La femme adultère – tous les saints du ciel à se froisser les corsages vous qui vivez en paix capitonnés de miel glanant des paroles arquées d’une seule voix au ver au sanglier au froid mensonge du sanglot décryptant le langage des hommes aux gants de velours aux dialectes en spirales fiancées à la mémoire piétinée du temps me direz-vous… emprisonné dans les filets immenses du péché sordide dissout parmi la blancheur des songes de la femme adultère cajoleuse». Ver opposé à la «ville zenglendeuse» terne qui blâme la pensée.
Sa poésie flatte tel le roman d’A, restaure la femme adultère par l’héroïne en Violeta Casal, Jean Cocteau (P.605) : «Une autre voix suave et vibrante, pure et cristalline, celle-là, telle une eau jaillissant d’un bloc de marbre, comme cent harpes d’or interprétant une sonate pour un malade soupirant dans son lit d’hôpital, condamnait à n’en plus finir la bêtise incommensurable et les propos fallacieux de la dictature, poussait le peuple à conspirer et à entendre la raison. Cette première voix à être sortie de la Sierra…». Si l’action se situe au milieu de raison d’intense culture en Rosa Felipe, Marisabel Sàenz du trio artistique de femmes cubaines de théâtre, mention de «littérature universelle» embrassant : Russe, Allemand, Britannique, Uruguayen, Grec, car la réalité du péché est la jouissance de la grâce. Il observe dans la Sierra, on l’imagine, femme désirable désirée de guérilleros en flamme de solitude. Je m’évade volontiers vers ce lieu, je la vois moi idem dans cette salle du Café de Da, bibliothèque d’Ahuntsic. Elle frémit en la Consule générale du pays. Crinière châtain foncé déposée sur mains jointes sous le menton. Il n’y a encore de voix, les yeux fixés sur le discours des poètes, ils défilent. Gros dos, pour parler de Castro de l’Apôtre de Fidel de Cuba. À l’autel de l’écriture du XVIIe Apôtre qui étoile le XIVe en deux tomes préparatoires reliés dans le seul livre. Majestueuse telle une Sierra, l’image dominatrice), mais d’un Fidel qu’il a campé parmi les citations dans le Pouvoir du sexe aux côtés de Lady Di. L’auteur a la mode, le luxe, j’ai le goût de dire : non sans raison. Il parle de sa plume d’auteur, de Ne dites pas à ma mère que je suis une salope. La féminité dite ainsi. C’est humain. Il rend mensongère la calomnie, libère Marthe, Maria, Magdalena!
L’instrument de mesure très usité de tous métiers, écrivain [on dit] reconnu par ses pairs. Au Canada, né en 1950 d’après l’inventaire-écrivain de 3000 pairs au Québec publié en 1999. Guide du collectionneur, par Yves Mornard (Montréal). Le XVIIe vit moult talents d’écriture allant de la poésie aux sciences de l’éducation. Passant par le roman de toute expression tel que Des Rosiers Joël né en 1951, Gérard Étienne né en 1936. Dans Une femme muette, Nouvelle Optique; Pierre-Léonard Joseph né en 1950, Black Projection (S. é. 1981). L’on retrouvera sur ce même chemin les frères Kauss & Kauss (Valentino 1959 et John Nelson 1958) avec des thématiques dont Entre la parole et l’écriture, Nelson 1982 de St John Kauss. Alors, le XVIIe Apôtre se prévaut de cette présomption apostolique du principe logique qui lui assure le XIVe Apôtre érigé par la définition de ses actions de diffusion élargie : violence = grâce.
C’est sans détour, parole d’apôtre séculier vivant comme Fidel qui le dit lui-même en ses mots révolutionnaires. C’est ce venin christologique qu’il crache là sur le menteur qui a menti sur Fidel, sur Cuba, sur Castro. Journaliste menteur du média ex éco !
Ce recueil apostolique poétique ne signe pas en l’oiseau seulement, il en est insufflé dans un titre : Les oiseaux de ces villes. Attaque frontale à la mémoire du mensonger du menteur du média de ce journaliste politico éphémère : «la mémoire n’a plus de souvenir à m’enseigner en ce lieu où la sève échappe à l’écorce [était-ce là Trump vu au préalable de jumelles de l’avenir?], ne sachant plus qui je suis dévorant mon propre feu … aussi vite que l’oubli ». Oubli phobique de l’ancêtre Mayflower à peine demi-millénaire, mais perdant sa flotte. Près de Cuba sans barque. Sa poésie connait ce roman qui assimile sa pédagogie, l’Apôtre force les vers libres. Il signe ici aussi en Montesquieu Charles Louis de Secondat (P141), lettre belle à venir pour le diplomate que Fidel impose au monde entier dans la diplo-art de vivre à revendre. Si l’auteur ne le revendique, le postulat va plus loin que l’académisme de Montesquieu, savons-nous que c’est 1804 qui révoqua le Code noir, non pas l’Esprit des lois qui a élu Abel Bonnard. Il s’avère que l’Académie pond des œufs sans germe, infertile en Outremer, ce ne sont pas des lettres persanes ni copiées de, mais l’apostolat 864 qui érige le XIVe au standard originel, de sa démarche unique non altérée de plus de 80 voyages.
Pourquoi et comment porter tout cela à l’écran, au grand écran. Il le dit dans les oiseaux se taisent, dans ‘je t’écris de mon île, le silence est si fou en ce lieu’ : «jadis tes pas si muets convoitant les rues avares froissant le poème à odeur d’Hollywood à senteur de Grammys dans le sang (mémoire millénaire du bagage génétique) » quelle façon de dire l’image séductrice géante dominatrice…Et Des Rosiers dans sa Métaspora l’explique par la genèse de la genèse de l’art : l’image qui domine. Fidel.
Journaliste, Ana Kovac (P.11) en fait-elle partie aussi de ces ne dites pas à ma mère…
Nelligan poète (à travers Riopelle (avec Jeffcoat et Mitchell) qui dans : Ça aurait pu être un film, de Martine Delvaux sur ce peintre signataire du refus global…se trouve son lieu dans le terne de la pluie qui force l’écriture. Je l’épelle dans le contexte prescrit de l’auteur sur le cinéma en P.86 des oiseaux se taisent… que je compare à citation inattendue du poète Des Rosiers, illustre metteur en scène inédite de sa Métaspora, à qui j’ai dit sans le savoir, qu’il devrait porter le livre à l’écran pour permettre au lecteur, par l’autorité de l’image, géante je rajoute (grand écran), de mieux comprendre la portée et la dimension des patries intimes qu’il évoque dans une éloquence de psychiatre qui s’adresse à un lectorat sain d’esprit de réputation, mais tellement en déficit de lecture réelle. E Gousse qui ragrandit l’image CASTRO, comme Martine Delvaux qui voudrait Riopelle en trio un film réel que je définis par Nelligan dans l’orbite de Gousse pour vivre la poésie agrandie au grand écran comme une image réelle. C’est de là que j’estime la valeur mesurable du XVIIe Apôtre dans le cortex rempli de matière grasse pour héberger un système nerveux alimenté par le sang renfermant une mémoire stockée que l’on vient chercher à travers le millénaire pluraliste, comme une maladie incurable intergénérationnelle millénaire ailleurs.
L’auteur ici décrit aime le cinéma par le visuel plus que le son certes, il rend ‘quatre siècles muets’, mais il est très olfactif de mémoire aussi avec toutes ces odeurs de! Un Apôtre qui vibre au sensoriel numéral. P.90. Odorat de cette mémoire 1804 usuelle.
Puisque nous sommes sur un banc de littérature interdite, le XVIIe Apôtre aurait-il dit dans son sacerdoce que Jésus n’était pas asexué pour rester le ‘sacré-cœur’ dans le discours de la foi exagérée de défenseurs d’une histoire non vécue, comme celle de Marie la vierge restée vierge qui enfanta, la question se pose, mais je m’abstiens de chercher sur ce pas, car nous sommes en relation à la manière de Castro Cuba Fidel.
Pourquoi la neuvaine du XVIIe Apôtre de la grâce cubaine est en 1804, et est-elle ce sujet-thématique à part développé en 7e épisode, c’est-à-dire celle qui suit en slrdc ?
J’ai singulièrement soulevé l’important cadre de développement PNL que l’auteur a fait vibrer par le créole compris lui-même par l’exposé de Mario Beauregard (Ph.D. en neurosciences), qui a établi la plasticité positive en vertu de l’utilisation de deux langues par rapport à une langue unique. Le Bulletin officiel no 33 du 15 septembre 2011), trace le cadre européen commun de référence pour les langues (2001, édition française) sur 6 niveaux (A1 à C2). Le créole impliqué dans cette démarche reconnue tardivement est réputé distinct en vertu des milieux de développement des peuples (Martinique Guadeloupe…). Celui d’Haïti non cité ici évolue en toute indépendance depuis 1804 cité de l’invasion/1915, en sa forme de liberté originelle, même à Cuba. En fait, ce créole usité du XVIIe Apôtre qui dit dans Limenna bout ke est un encodage plus élevé que j’utilise personnellement dans le Gcréole qui renferme (2) lettres (GC) plus qu’en PNL, mais en NPLS (Neurautomate Progressive Language System)
Comment conclure en littérature adaptée sinon avec Le Matérialisme Dialectique de Gustave Wetter S. J. ici
Mémoire du Vent (Noroît 1993)
Ce texte raconte une traversée paradoxale du moi, du monde et des mots : expérience d’aveuglement, de ravissement en même temps qu’aventure éclairante d’élucidation. Il en va d’une contamination par la sensation immédiate et le souvenir brut (sur fond sacré, mythique, voire archaïque) et d’un effort dans l’écriture pour prêter une voix aux visions, pour ordonner les perceptions informes en bribes de discours et de récits. Ce texte est double : une partie en vers et une partie en prose, sous la forme de fragments ou d’aphorismes. Duplicité retrouvée sur un autre plan dans l’ambivalence tendue quant à l’intention fondamentale du propos : lyrisme ou prosaïsme, expression du sujet ou analyse des mœurs. Rencontre de la voie des poètes et de la veine des moralistes dans la recherche d’une hygiène de vie qui comprenne un rapport à l’autre et un art d’écrire.
note personnelle. Cet Apôtre reste moralement humain dans les faits. Les intentions déclinent la sanctification. Cette déification dite d’apocryphe. Il nous fixe même dans la lecture de l’écriture éloquente qui parle. Oralité qui valide les neuro-sens de sa pédagogie qu’il n’utilise qu’à émanciper, mais à réédifier. Il propose la richesse sur terre par là : LIBERTÉ!
or voici l’ire délavée
une main hésite un instant
le relief tourne la page
l’air respire son ère cathartique
en cathédrale de beauté
au lieu-dit dans le sillage d’une éclaircie
je suis présent migrant de l’espace
elliptique migrant
je caresse tes blessures et ton corps
multiplie ma voie en d’étranges solitudes
j’arpente la citadelle endormie
jusqu’au dernier spasme
Que l’on comparera peut-être avec Dialogue avec mon ombre de Gérard Étienne Éditions Francophones – 1972
Comment conclure en littérature adaptée sinon avec Le Matérialisme Dialectique de Gustave Wetter S. J. ici. Je conclus par Gustave Wetter S. J.
Les racines philosophiques du Marxisme (chap.1)
«Lénine ramène le marxisme à trois sources principales: « La doctrine de Marx, écrit-il, est la véritable héritière de ce que l’humanité a produit de meilleur au XIXe siècle: à savoir la philosophie allemande, l’économie politique anglaise et le socialisme français.» Version 1962, ce qui vaut que mai 68’ en découle. Or, le prisme de telle déclaration reprise ne tient plus le bac, c’est l’échec. Castro (Fidel outré avant) a fait un choix réaliste. Le XVIIe vient le conforter en 1804.
Ce texte d’exutoire rentre dans le cadre de l’observatoire-slrdc sur Haollywood. Je discerne une Écriture Insulaire Épistolaire Diplomatique Réelle de 1804. Il met en relief des passages évoqués pour un besoin de compréhension cinématographique. Edgard Gousse est un écrivain qui vit au Québec avec un passeport sans frontière [de Sang pour Sang à Fidel Castro le XIVe Apôtre, il dément le journaliste média menteur]
cet article est publié le 21 février 2024 par l’hebdomadaire Haïti-Observateur, édition numérique , et se trouve en VOL. LIIII, No.3 version papier en P.3, 4 à : h-o 6 mars 2024