DIPLOMATIE INTERNATIONALE & SOCIÉTÉ par Dan Albertini
- OACI’l dans les Coulisses du Mensonge Étatique du Président Haïtien
Entre (). Arete miki vin n ban m kou, arete loran vin n ban m kou, arete tiwil vinn. Fermons ().
OACI le subsidiaire le plus opaque des UN est-il à Montréal, et, la 213e séance du Conseil en fait-elle foi de cela : moment de vérité dans les coulisses de l’État Ht. Doit-on savoir lire à travers la présidence rotative haïtienne, de la CARICOM : elle est peut-être entre mensonge et vérité si la rotation haïtienne symbolique est pauvre à travers ce prisme que l’on découvre. Au moment où, le pays figé, sans loi cadre pour l’OACI, détient un prisonnier politique rançonné par système judiciaire. Où la BRH ne vaut pas le poids de la BCRD voisine. Moment où, sans l’Haïtien de l’extérieur, l’économie est nulle. C’est dans ce cadre que nous voulions regarder Haïti dans les jumelles de l’OACI et, tenter une démarche. Infructueuse. Le profil d’Haïti. nom : Cap-Haitien Intl/MTCH/Cap-Haïtien. Toussaint Louverture Intl/ MTPP/Port-au-Prince; règles/Vol : IFR; portée : Internationale; piste : 1; 2017 départs : 2521/8166.
Mise en situation. Si Haïti a vécu la 213e séance opaque du Conseil (ICAO), au moment de sa présidence rotative (CARICOM), qui sont : diplomates, représentants experts qui défendent l’intérêt national fédéré aux intérêts régionaux puisque c’est une grande opportunité tant pour la CARICOM que pour la démonstration de la zone d’influence ? N.B. Kingston s’étale, issue technologique positive, S-D offre en garantie, au nez du voisin. Contexte relatif visité à ID 08:08:016 internationaldiplomat.ca/international/iwaf-2016 IWAF-2016 no country left behind. Jovenel Moïse leader en exercice de la CARICOM, peut-il alors dire qu’il a défendu la zone économique en se rendant au moins à une rencontre stratégique à Montréal, quand l’ambassadrice française parla aux représentants en visite chez Moïse ? Vu d’ailleurs, tel que le disait en 2016, le secteur arabe en observation : « the African strategy works ». Dressons le profil bref des deux dernières années avec un portrait bicéphale : vérité et mensonge. Une note organique fait foi, la « récente rencontre entre le Président d’Haïti et le Directeur du Bureau régional de l’OACI Amérique du Nord, Amérique centrale et Caraïbes (NACC), M. Melvin Cintron », n’est pas dû au hasard pour nous ni pour l’expert impliqué. Qui est Jovenel Moïse d’abord ? Jovenel Moïse : un président aux multiples facettes.
29:12:2018, j’ai publié Jovenel Moïse replongé en prisonniers politiques et exilés internationaldiplomat.ca/politique/820/ [le Diefenbunker réinventé… quand Haïti, juste une tâche de 4 aérodromes pour l’ICAO, mute en État de crimes, de prisonniers politiques et d’exilés, y a-t-il là : spasme sinon détour vers l’ère ante-nazi ?] (10687 Vols Int/2017). J’ai su à ce moment-là que les (2) événements étaient au rdv tandis que l’interrogation allait se noyer dans un contexte de guerre d’influence nouvelle dans le coin de la Syrie. Si Bachar est ainsi pointé, Jovenel Moïse garde dans ses geôles au moins (1) prisonnier politique, en l’occurrence Jean Jackson Michel (obligé par l’usage de cathéter insalubre pour uriner). Comprenons, en RD voisine on maltraite le Noir haïtien, et Moïse se tait impuissant. Inculpé, estime-t-on par des accusations qui aboutissent au Parquet. C’est là un président qui aurait de sa première femme divorcé, laquelle serait aujourd’hui Mme Marcellus, sa plus grande défenderesse, plus que l’actuelle PD. Relation que nous avions découverte dans le cadre de notre enquête sur les raisons profondes de la détention arbitraire prolongée du citoyen Jean Jackson Michel. Ce président Moïse a carrément menti pour ce faire, dixit l’ex président du Sénat, sénateur Youri Latortue, déclarant en onde qu’il était dans la voiture présidentielle à ce moment, avec l’ancien président (Chambre Basse), Cholzer Chancy. JM est-il alors ce Pinochet en spasme qui prétend développer, qui ne fait que diviser le pays ? Interrogeons plus de faits, d’autres publications aussi, notre Moïse n’est pas ce Pic de la Mirandole de la CARICOM à l’ICAO.
NGAP Global summit 2017. 6/12/2017 http://internationaldiplomat.ca/economie/ngap-global-summit-2017/ J’ai soulevé dans un précédant article l’interrogation suivante : Haïti en profite-t-elle (es) coopération technique, de transfert de technologie, de gestion régionale. Celle-ci restera sans réponse puisque les responsables locaux ne tiennent aucune communication de crainte d’être limogés pour cause d’erreur politique inopportune. Ce n’est donc sans détour que j’ai tenté une fois de plus, de mettre le cap vers un représentant haïtien car je réitère, c’est un pays où l’on construit des aéroports-dits de standard international. L’ASCA (RD) nous a servi de bouclier pour l’île, avec l’Ing. Burgos, Msc. présent au NGAP, confirmant une activité bilatérale frontalière. Évidemment une fois de plus, il existe une impressionnante communauté migratoire Haïti-RD, au point d’assurer des vols quotidiens d’aéronefs de tout calibre, marché. Interprétons Jean-Lemerque Pierre, DG en 2016. « Des difficultés financières pour réaliser un audit car le coût doit être assumé par le pays demandeur ». Donc, crise budgétaire locale contre siphon organisé de l’ICAO où le fonctionnalisme international se finance aux dépens du pays membre. Le 6 nov 2017, le communiqué de l’OACI/ICAO faisant état de la signature du MoU, Dr. Fang Liu et le Président de l’Université Waterloo, Dr. F Hamdullahpur lançant un cours à distance […], en réalité relative non à la capacité de chaque membre en croissance afin de mieux sensibiliser le jeune/global au secondaire, en investissant soit en adéquation de ce « no country will left behind » de l’an dernier, soit en asymétrie implémenta-tive, dans la formule de « discrimination positive » ? Jovenel l’ignore encore !
Quelle influence quand nous avions rencontré le représentant de la firme FREQUENTIS qui nous parla de la problématique haïtienne http://haiti-observateur.ca/?p=1179 13/12/2017, H-O P.12 Second Symposium Global de l’Industrie de Navigation Aérienne. [La question reste hélas sans réponse puisque les responsables locaux ne répondent à aucune communication, de crainte d’être limogés pour cause d’erreur politique inopportune. Frequentis Vienne, firme en négociation avec Haïti pour la fourniture de services et d’instrumentation de communication intégrée au niveau de l’OACI et d’échanges de plan de vol, ne trouva de réponse malgré la touche l’ingénieur Emmanuel Joseph. 500.000$us, matériel, formation, application, dont la NASA, la Garde-côtière, l’Armée Suisse, le Scotland Yard de Londres, bénéficient. Mieux, qui servirait à former la ressource en Haïti. [Moïse]. Non une affaire de bearing de projet de WhatsApp, expliquée par le Président Moïse, mais de l’aviation civile en Haïti et de son avenir. Port-au-Prince n’a répondu. Pas encore peut-être]. Et voilà ce que nous dit la note de l’OACI sur la rencontre d’avec le président Moïse, près de cinq mois plus tard : « M. Cintron a également rencontré l’Ambassadrice de France en Haïti, S.E. Élisabeth Beton Delègue, afin de souligner et de reconnaître le rôle moteur que joue la France dans le développement du système national de transport aérien grâce aux contributions de sa Direction des services de la navigation aérienne, qui travaille en collaboration avec l’OACI et l’Office national de l’aviation civile haïtienne ». s. WRC-ICAO
Voilà l’état de la situation dans la réalité, toujours décrite par la même note de l’organe : « M. Cintron a insisté sur la nécessité pour Haïti d’adopter sa première loi sur l’aviation en tant que fondement essentiel de son système de transport aérien. La nouvelle équipe gouvernementale a clairement montré qu’elle comprenait le rôle de l’aviation en tant que pilier du développement et de la croissance économiques durables du pays, et le Président a affirmé qu’il était résolu à faire en sorte que le système de transport aérien national évolue et qu’il soit reconnu à l’échelle mondiale comme un système sécurisé, sûr, efficace et conforme aux normes et pratiques recommandées (SARP) de l’OACI ». Comprenons, budget, experts
La note précise aussi les interlocuteurs haïtiens présents : « Le Ministre haïtien des transports, M. Fritz Caillot, le Directeur général de l’aviation civile haïtienne, M. Olivier Jean et le Conseiller du Président, M. Gerd Pasquet, ont également participé à la rencontre ».
Si la note souligne ceci : « cette nouvelle volonté politique, doublée d’un élan renouvelé, propose une vision axée sur les résultats, qui sert l’avenir du système de transport haïtien et suscite un grand intérêt », il n’y a absolument rien qui démontre ici l’intérêt régional défendu ni la capacité ou ce leadership élaboré par le président rotatif de la CARICOM en exercice.
La note précise que « la rencontre avec le Président haïtien a fait suite à une réunion très constructive du Système de supervision de la sécurité et de la sûreté de l’aviation dans les Caraïbes (CASSOS), à Port-au-Prince. Le CASSOS et la Corporation des services de navigation aérienne d’Amérique centrale (COCESNA) ont appuyé le Bureau régional NACC en mettant un expert [payé par le pays] à la disposition de l’équipe d’assistance chargée de l’initiative Aucun pays laissé de côté (NCLB) ». Ce que j’ai ainsi mis en doute depuis la thématique suivante exposée à l’OACI : Aviation nouvelle génération de professionnels http://internationaldiplomat.ca/economy/aviation-nouvelle-generation-de-professionnels/.
En effet je citais un cartel de pays arabes qui à la fin de l’AG, échangeaient en ces mêmes termes, (anglais). « The African Strategy Works ». Ils avaient obtenu (2) sièges si je ne me trompe. J’ai à ce titre sollicité aussi en entrevue les représentants haïtiens rencontrés mais avec oh combien de peur car l’aviation civile là-bas reste et demeure une patinoire politique, non de carrière en sciences & technologies, comme tout avenant dans ce pays dont l’impressionnante communauté migratoire à travers le monde. Le 6 nov. 2017, un communiqué de l’OACI/ICAO faisait état de la signature d’un Mémorandum (MoU).
Réitérons : Vu d’un autre côté, Montréal profite non seulement de formations techniques et scientifiques d’écoles aéronautiques, mais l’industrie canadienne gère par exemple à ville Saint-Laurent, de fabrication de simulateur qui trouverait probablement un intérêt à se faire représenter dans la région caribéenne moyennant des débouchés nouveaux, et pourquoi pas. Si le pays se trouve à proximité du centre décisionnel de l’OACI/ICAO, des secteurs de pointes de renommée mondiale, avec cette vague migratoire croissante des Haïtiens à travers le monde, ce qui en économie réclamerait un circuit de transport national éprouvé aussi, la question se conclurait ainsi à savoir si la maxime « no country will left behind » concerne Haïti aussi. En outre, si Haïti a pu traiter le citoyen Franck Ciné tel qu’il l’a fait en matière de télécommunications, avec sa compagnie Haïtel, malgré son appartenance à L’IUT/UTI équivalent onusien de l’OACI/ICAO en aviation, le doute sur les capacités de l’État reste et demeure raisonnable. Moïse président rotatif de la CARICOM est-il seulement grand metteur en scène pour histoire de bearing de pompe à eau en terrain égaré, ou un obscur menteur inapte complice qui joue au politico à l’Arcahaie sur le dos d’innocentes victimes accusées ?
Cherchant ainsi à saisir la complexité de la situation du prisme Haïti-ICAO par la publication antérieure ci-après, il y a lieu de mesurer sa gravité par l’arrêt Moïse-ICAO. Car, le reflet du segment Moïse-juin/64, de ce vecteur se dessine lors d’une entrevue de 17 minutes que nous a accordé l’activiste politique Macsen Latortue (Arcahaie), le lendemain de l’événement du 28 avril où le sénateur Y Latortue s’est fait assiéger par un bras invisible, au Cap-Haïtien, tandis qu’il participait à une rencontre publique sur l’affaire PetroCaribe. Dixit, Macsen Latortue, Jean Jackson Michel cité en para-iv, est bel et bien fait prisonnier politique de PHTK dans le but de renforcer le pouvoir de Jovenel Moïse. Réf-art. internationaldiplomat.ca/international-diplomat/diplomatie-internationale-societe/icao-carbon-market/ ICAO Carbon Market, datant du 1/03/2018. [Des experts mais en réalité des vendeurs de produits soit corporatifs mais en général étatiques, viennent vendre des concepts, pourtant le voisinage est en train entrain de pomper la même fumée proscrite, en pleine intelligence de la ville qui héberge : organisation internationale et séminaire… c’est le système économique qui dicte la loi]. Président rotatif, Jovenel Moïse l’ignore mais serait ainsi le seul chef de navire sans timonier expérimenté à bord, pour son pays et un aveugle né pour la CARICOM qui ne voient que poussière d’étoiles.
cet article est publié dans l’édition du 25 avril 2018 de l’hebdomadaire Haïti Observateur et se trouve en P.12 http://haiti-observateur.ca/wp-content/uploads/2018/05/H-O-2-Mai-2018-2.pdf