Lambert, plus haute autorité politique légale légitime élue, en Haïti par Dan Albertini

DIPLOMATIE INTERNATIONALE & SOCIÉTÉ

  • Lambert, plus haute autorité politique légale légitime élue, en Haïti
  • LE SÉNAT SIÈGE EN PERMANENCE par Dan Albertini
  • Entre (), Macron doit quitter la présidence rotative semestrielle de l’Europe, comme Sarkozy, le 1e juillet prochain, sans succès ni gloire, mais avec un profond désaveu local. L’autre présidence rotative suivra. Fermons-les (). 

Un an depuis que le monde politico foule aux pieds le rôle crucial inscrit dans l’esprit même de la Constitution haïtienne. Constat, RACISME à Ottawa, le Canada empêche l’exercice constitutionnel du SÉNAT d’Haïti.

Le sénat de la République siège en permanence pourtant, et tout le monde le sait. Pourquoi vouloir by passer le Parlement et le rôle du Sénat pour créer un correctif qui n’existe pas, pour l’exécutif. C’est sur le principe de la reconduction du Budget quand il n’y a pas de vote validant un nouveau budget, par cette institution [que le président Martelly a fait d’ailleurs avec Kato avant de partir] que s’imbrique l’inviolabilité de la position étatique politique de Lambert dans la logique de la Constitution sans détour ni besoin d’ajustement.

Depuis l’Ouverture de 1803 pour réaliser 1804 pour Haïti comme État souverain, confirmé par la Constitution de 1986, bien plus que la haute distinction honorifique, le sénateur Joseph Lambert est la plus haute autorité politique légale légitime élue, en Haïti. Pour le pays où le Sénat de la République siège en permanence.

Sinon le diplomate n’est plus ambassadeur…

Brusquement, le Parlement par le bras du Sénat en siège permanent, perd le droit de convocation pour un usurpateur, un imposteur politique, pour Dr Ariel Henry qui est devenu un escroc par la force des actions internationales qui le valident au mépris du peuple souverain d’Haïti, tandis que pour le Venezuela avec J Guaidò contre Maduro, la politique étrangère canadienne en particulier a tout fait pour l’imposer, s’appuyant sur une forme manipulatrice de la Colombie. Résultat : la tradition raciste de la politique colombienne perd le pourvoir au profit d’anciens révolutionnaires élus à la déception du Canada devenu un accroc démocratique par l’intrusion dans les affaires internes d’autres Nations, comme si le Québec à l’image de Taïwan volée aux Chinois et Kiev en discussion, où Trudeau n’a pas été élu pour partir en guerre, et entrainer le Canada, les Canadiens, en guerre aussi, après la COVID-19. Loi martiale en vue ?

La rumeur circule sur le fait de Joseph Lambert ciblé par le FBI, sans preuve établie, sans jugement de la justice haïtienne, sans condamnation internationale pour crime attitré par les conventions en vigueur. Mais, les erreurs volontaires pour aboutir à l’Arrêt R. Jordan au Canada, qui a vu libérer tant de vrais criminels d’accusés pour se réorganiser dans la société, les MOBS aux États-Unis d’Amérique aussi, mais on veut faire croire à une culpabilité héréditaire pour cause d’indépendance haïtienne depuis l’Empereur J-J Dessalines assassiné en 1806. C’est le racisme pourtant dénoncé par Justin Trudeau dans le passé seulement qui prévaut dans les compréhensions des responsables politiques et de gestion du Ministère des Affaires étrangères du Canada, quand, N Bouchard et confrères ne savent même pas l’abécédaire des RI, et sont en quête d’information salvatrice auprès même de ceux qu’ils prétendent assister.

Depuis l’Affaire de 2004 où un coup d’État avait forcé le président J-B Aristide à prendre l’exil dans des circonstances même interdites par la Constitution haïtienne, un autre coup d’État vient affaiblir la République d’Haïti en conspuant contre le Sénat et son pouvoir légal. Il n‘est pas ici de confondre la présidence du pays par la présidence du Sénat par Joseph Lambert. En outre, il est la plus haute autorité politique légale légitime élue, en Haïti, par qui, d’où le Sénat, doit passer toute décision politique, avec pouvoir de convocation. Le considérant associé fait foi de la démarche.

Le reste est un crime dans lequel participe le gouvernement de Justin Trudeau, contre l’État souverain [Ariel Henry est le Jean Conzé nouveau qui a trahi le pays], cela doit cesser sans délai, c’est le risque qu’il fait courir à tout Canadien qui quitte le pays.


Cet article original qui fait foi, est publié par l’hebdomadaire Haïti-Observateur (version modifiée), VOL. LII, No. 26 New York du 29 juin 2022 et se trouve en P.4  à : h-o 29 juin 2022