
Les Vagues d’une Rançon ou la France un héritage CONTROVERSE
- par Joseph Piere Léonard
- Simulation de l’IH-IA
L’ÉCHO DU CODE NOIR
Le **Code Noir** est un décret royal publié en 1685 par le roi de France Louis XIV – qui régissait l’organisation de l’esclavage dans les colonies françaises – principalement aux Antilles – comme par exemple : Haïti – la Martinique et la Guadeloupe. C’est un document légal qui contenait des règles strictes inhumaines concernant le traitement des esclaves Afro-genèse – leur statut juridique – et leur conduite imposée par la barbarie des parasitaires.
L’ÉCHO DU CODE NOIR
Dans l’ombre des siècles – un silence lourd –
Le CODE NOIR imposa la souffrance – le mépris et la peur –
Des êtres humains – brisés – sourds
Venus d’horizons – emportés par la douleur – tourment et angoisse.
Les mots officiels – cyniques – froids – cruels et sombres
Décrivaient la vie – la soumission – l’esclavage et l’odieux.
Dans chaque ligne – la haine s’encombre
Un portrait d’un monde aux valeurs monstrueuses en naufrage.
« Obéissez » disait la loi – sans pitié –
Les corps frappés – marqués – pleurent. Sous le fouet – la rage et la résistance
Les générations portent leurs CICATRICES en or – Pour décorer la GLOIRE DE L’HÉROÏSME.
Mais au fond des cœurs – brûle constamment l’espoir
D’un avenir où la justice briserait les murs
Où la liberté redonnerait la victoire
Et chasserait pour toujours ces lois obscures – inhumaines et parasitaires.
Souvenons-nous – pour ne jamais oublier
Que l’ombre ne doit plus renaître – ni régner
Et que chaque voix – chaque rêve – chaque liberté – peut – ensemble – faire briller la vérité et la mémoire héroïque du Dessalinien.
Et sur le podium de notre Justice – nous suspendrons la corde de la potence pour signifier la fin du CODE des parasitaires.
- Ayibobo!, 16 mai 2025.
- Joseph Pierre Léonard
- Gangan mesaje / ibo thérapeute
- Bayakou reklame
NOTE DE PRÉSENTATION ÉPILOGUÉE DE L’ÉDITEUR
Il faut comprendre l’anti valse de Joseph Pierre Léonard dans le cadre de l’Écho du Code noir par La Valse brillante du CODE NOIR (illustrée de F. Sorrieu), musique de Louis Clapisson, transcrite pour le piano par l’Auteur et dédiée à Mme Crosnier (Prix 5 ½). Paris, au Bureau de la France Musicale No 6. Rue Nve St Marc. Mayenne, chez les fils B SCHOTT – Londres chez DELMAINE – Milan, chez Ricordi. Visé du sceau : Conservatoire de Musique Bibliothèque. (mesure : Introdizione en Fermissimo avec clé de sol et clé de fa – Loco et beaucoup d’accord, et en finale clé de sol Dolcissimo et clé de fa Pedale – accord R intento un poco Ben legato.)
Antoine Louis Clapisson – ouverture de l’Opéra Le Code Noir, Orchestre de Picardie – Laurent Petitgirard (24 janvier 2022)
https://www.youtube.com/watch?v=mpLuffgfwHM
Si Clapisson a vécu de 1806-1866, donc après 1804 du 1e janvier, c’est que le Français ici concerné, ses interprètes, jusqu’à Petitgirard (2022) pratique encore les émoluments du Code noir malgré les déclarations devenues loi sur l’esclavage comme crime contre l’humanité (sous Macron), donc une vie, des intérêts, un mépris, tout cela a un coût onusien. Et, Opéra comique le Code noir… de Louis Clapisson, mise en scène de Jean-Pierre Baro, n’a pas payé le crime de Saint-Domingue, à Haïti.
https://www.youtube.com/watch?v=qSnprf4jZL4
Les Paladins Jérôme Correas Teaser – opéra-comique de Louis Clapisson, mise en scène – Jean-Pierre Baro
L’on s’imprègne de tout cela en réécoutant le traître couard élu, de l’Académie française, sur le dos d’Haïti, dire en entrevue entre deux décennies, que le Code noir a été fait pour protéger les esclaves en esclavage.
Le Code noir à Quimper le 13 novembre, à Meudon le 29 novembre, aux Perreux le 16 janvier 2020, à Massy le 31 janvier, etc.
https://la1ere.franceinfo.fr/code-noir-version-opera-comique-770163.html
Ce qui signifie que tout le monde le sait sur France Info, en 2020, à Meudon, à Massy, aux Perreux, etc.
C’est dans ce contexte historique abusif qui vaut le tricentenaire dépassé aujourd’hui de pratique moderne, imprégné d’une revendication plus que légitime puisque légale aussi, et, souverain à plus d’une enseigne, car des peuples en sont détenteurs. Cela, pris dans une marre de mensonges, toutes aussi étatiques que citoyens et corporatifs, pour continuer à construire des richesses en abusant des autres sous la bannière du racisme transcendant qui juge les autres pour les condamner au profit de pré-nazis inscrits à même le Code noir, dont les preuves sont irréfutables, mais où le coupable se veut encore juge et partie à la fois. Ainsi, IDC propose le texte de Joseph Pierre Léonard qui, dans les titres («Bayakou reclame») ne se gêne pas. En fait, l’on ne peut plus camoufler la puanteur de cette diplomatie de Saint-paulin au lard plus ancien, rance, sec, ré-humidifié [voir déclamation de Trump, étourdi et se trompant d’adresse, en 2018, sur Haïti, mais qui va voir Macron président de Code noir. Plus tard, réélu]), se réclame de récurer « les écuries d’Augias » de l’histoire moderne tolérée coupable.
- P28 collaboration spéciale IDC
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